| Corriger une erreur sur un acte surérogatoire
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 Liste des actes surérogatoires Les actes surérogatoires parmi les dires
 - L’ouverture de la prière avec une invocation
 - La demande de 
la protection de Dieu contre le diable banni
 - Le fait de dire "Amin" après 
Al-Fâtiha
 - La lecture d'une partie du Coran après Al-Fâtiha
 - La lecture 
des sourates à voix haute ou à voix basse selon les cas
 - Ce qui est dit en 
plus de l'unique glorification de Dieu pendant l'inclinaison et la 
prosternation
 - La demande de la protection auprès de Dieu dans le dernier 
tachahoud
 - Le fait de dire "Dieu à toi la reconnaissance" [Rabbana wa laka 
l-hamd] et autres invocations après avoir dit [Sami'a Allahou liman 
hamidah].
 - L’invocation [Qounoût] dans le Witr
 - La demande du pardon 
entre deux prosternations quand on est assis
 - Le fait de dire une deuxième 
fois le salam
 - La prière et la bénédiction sur le Prophète pendant le 
dernier tachahoud
 
 Les actes surérogatoires parmi les actes
 
 - Le 
fait de lever les avants bras au moment de l'ouverture de la prière, et à chaque 
mouvement
 - Mettre l'avant bras droit sur l'avant bras gauche au-dessus de la 
poitrine.
 - Jeter son regard vers le lieu de prosternation.
 - Mettre les 
mains sur les genoux pendant l'inclinaison
 - Pendant l'inclinaison avoir le 
dos plat et la tête en continuité dans la même direction
 - Écarter ses doigts 
lorsque l'on attrape ses genoux lors de l'inclinaison
 - Avoir les doigts en 
direction de la Qibla pendant la prosternation
 - S'asseoir sur le flanc 
gauche au deuxième tachahoud
 - Mettre la main droite sur l'extrémité de la 
cuisse droite et lever l'index afin de signaler l'unicité de Dieu pendant le 
tachahoud
 - Poser la main gauche à plat sur la cuisse gauche
 - Tourner la 
tête vers la droite ensuite vers la gauche au moment du salut.
 
 Le 
cœur
 Il s’agit de l'humilité dans la prière. Manière de corriger une erreur sur un acte surérogatoire Les actes surérogatoires n'annulent pas la prière lorsque l'on ne les fait pas volontairement ou involontairement, 
et il n'est pas nécessaire de faire deux prosternations de l'oubli à la fin de la prière car leurs applications n'est pas obligatoire. Celà dit, les faire ajoute des récompenses à la prière. Exceptions Les imams Mâlik et Abou Hanîfa ont dit que si le prieur oublie de lire le Coran à haute voix 
pendant la prière de l'aube [As-Soubh], du crépuscule [Al-Maghrib] ou du soir 
[Al-'Icha] et qu'il le lit à voix basse, il se doit alors de compenser cet oubli par deux prosternations de l'oubli, et la même chose dans le cas ou il oublierait le Qounout du Witr. A part ces deux actes surérogatoires entrant dans 
les dires il ne convient pas de se prosterner par les deux prosternations de l'oubli. 
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