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Ils se sont convertis
Bogdan Kopanski (Ataoullah) « Quand j'avais 12 ans, je rejetais la foi contradictoire et illogique de l'Église. Deux années plus tard, en 1962, j'ai été fasciné par la lutte victorieuse des musulmans algériens contre le colonialisme français. C'était la première flèche de l'Islam à me toucher. Durant mes études secondaires et à l'université, j'étais un exemple typique de la génération de rebelle rouge (communiste). Mon cheminement vers la Vérité du Saint Coran était lent et imprévue... En 1974 j'ai visité la Turquie, je préparais ma thèse sur la politique du Sultan et Calife Suleiman Kanunís envers l'état polonais. Je fut alors surpris par la plus mélodieuse voix que l'humanité puisse produire: l'Azaan, l'appel à la prière par un muezzin. Mes cheveux se sont dressés sur ma tête. Une force étrange mais puissante me conduisit à la vieille mosquée d'Istanbul. Là, de vieux Turcs barbus et souriants, m'enseignèrent le Wouzou, (ablutions). J'ai proclamé la Shahada en larmes, et j'ai fait ma première prière (Salat al-Maghrib)... J'ai alors balayé toutes mes idéologies de pacotille... Pour la première fois de ma vie, j'ai éprouvé une telle félicité, et je ressentais le plaisir de l'amour d'Allah dans mon coeur. J'étais un musulman... ». Bongo Ondimba (Omar) Cassius Clay (Mohamed Ali) Cat Stevens (Yussuf Islam) J'ai été élevé dans le monde moderne avec toutes ses parures. Je suis né dans une famille chrétienne mais nous savons que chaque enfant naît avec sa propre nature et que ce sont ses parents qui le dirigent vers une religion ou une autre. Le Christianisme était ma religion et mon mode de vie. On m'a enseigné l'existence de Dieu, mais il n'y avait aucun lien direct avec Lui. Nous devions communiquer avec lui via Jésus, il était en quelque sorte la porte pour accéder à Dieu. Je l'acceptais plus ou moins ; mais j'émettais quelques réserves. Je regardais les statues de Jésus : ce n'était que des pierres sans vie. J'étais encore plus perplexe mais je n‘y réfléchissais pas. J'y croyais plus ou moins car je devais respecter la foi de mes parents. Petit à petit, cette éducation religieuse m'aliénait [...] J'ai commencé à découvrir ma foi. Je sentais que je devenais musulman. En lisant le Coran, je me rendais compte que tous les prophètes envoyés par Dieu avaient apporté le même message. Mais alors pourquoi les juifs et les chrétiens étaient-ils différents? Je savais maintenant pourquoi les juifs n'acceptaient pas Jésus comme le messie et pourquoi ils avaient transformé ses mots. Même les chrétiens ne comprennent pas les mots de Dieu et disent de Jésus qu'il est Son fils. Tout prenait sens. C'est la beauté du Coran, il incite à réfléchir et à raisonner, et non à adorer le soleil ou la lune mais Celui qui a tout créé. Chris Wayne Jackson (Mahmoud Abdul-Rauf) Eduard Schnitzer (Mehmed Emin Pascha) Eva De VITRAY-MEYROVITCH « Le Coran est la dernière révélation, et Mohammad (Paix sur lui) est le sceau des prophètes (.....) Puis j'ai été heureuse de constater que je n'étais pas seule, mais je me trouvais située, sans le savoir, dans une grande tradition. Et cela sans avoir à rien renier. Je ne reniais ni la Torah, ni l'Evangile. Je laissai simplement de côté ce qui m'avait toujours agacée, les décisions conciliaires, dogmatiques de messieurs réunis à Rome pour décider que Dieu est comme ceci ou comme cela.(...) On ne se convertit pas à l'Islam, on embrasse une religion qui englobe toutes les autres... ». - Islam, l'autre visage, Eva de Vitray, Ed. Albin Michel, 1995 Fabe F. L.
Alcindor (Kareem Abdul-Jabbar) Francis Perrin Franck Ribéry (Bilal) "Cette religion, l'Islam, c'est moi qui l'ai choisie et c'est aussi elle qui me donne la force, sur le terrain et en dehors", souligne Bilal Ribéry dans un article publié dans la dernière livraison du magazine "Paris Match". Jacques-François Menou Jemima Goldsmith (Haiqa) "Les médias me présentent comme une naïve sotte de 21 ans qui a pris une décision à la hâte, sans en évaluer les conséquences, à savoir: se condamner en fait à une interminable vie de soumission, et de casernement misérable. La réalité est quelque peu...différente. Contrairement à cette opinion véhiculée (par les médias), ma décision de me convertir à l'Islam fut entièrement de mon propre choix, et, surtout pas une décision hâtive! Pour moi, cela a commencé en Juillet 1994, j'ai étudié en profondeur le Saint Coran et les travaux de divers érudits musulmans, Gai EATON, le président bosniaque Alijah Izetbegovic, Mohammad Asad ; cela m'a donc laissé largement le temps de méditer et réfléchir avant une quelconque décision. Et en fait, ce qui commença comme une simple curiosité intellectuelle, a mûri en une certitude de l'universalité et l'éternelle vérité de l'Islam. Une précision importante: ma conversion n'a jamais été un pré-requis à mon mariage. Je le réitère avec force et conviction. Le Coran est très explicite là-dessus, un musulman est permis de se marier aux Gens du Livre, c.-à.-d. les juifs et chrétiens. Je pense que la racine du mal, concernant cette hostilité envers ma conversion et mon mariage, est l'énorme fossé entre la vision occidentale caricaturale de l'Islam et la réalité. J'ai visité le Pakistan plusieurs fois l'année dernière, et j'ai étudié le Coran et la Sunna, je peux donc juger la théorie et la pratique. Je confirme que quelques sociétés islamiques abusent des femmes, comme le font d'ailleurs d'autres sociétés; mais en Islam, la notion si importante de la cellule familiale et du rôle de la femme a une place vitale. En lisant la presse, en rapport à ce que j'ai délaissé en m'islamisant, il semblerait que le bonheur, pour la femme occidentale repose essentiellement sur les sorties en boîte, l'alcool, et les vêtements aguichants. Et l'absence de ce type de liberté et luxe dans la société islamique est perçue comme une entrave à la liberté de la femme. Cependant, comme nous le savons tous, ces frivolités et futilités n'ont rien à voir avec le vrai bonheur. Finalement, il me semble ridicule que la presse spécule sur les chances de succès de mon mariage. Car, quand je vois que, dans une société basée sur la vie de famille, le taux de divorce n'est qu'une infime fraction de celui de l'Europe ou des USA, je ne vois pas pourquoi mes chances d'un mariage heureux seraient moindres que si j'avais choisi d'épouser un occidental. » (Extraits de Why I chose Islam, par Jemima Goldsmith, Londres, Sunday Telegraph du 28 Mai 1995) Joseph
Anthelme Sève (Soliman Pacha) Karl Detroit (Mehmed Ali
Pascha) Kery James (Ali) Leopold Weiss (Mohammad Asad) « L'Islam me paraît comme un chef d'Å“uvre d'architecture. Toutes ses parties sont harmonieusement conçues pour se compléter et se soutenir entre elles. Rien n'est ici superflu, et rien ne manque, avec comme résultante l'équilibre parfait d'une composition sans faille ». Malcolm X (Malik Shabbazz) « Je suis musulman ce qui signifie seulement que ma religion est l'Islam, je crois en dieu, en l'Être suprême, au Créateur. C'est une religion très simple, très facile à comprendre... Nous ne jugeons pas un homme selon la couleur de sa peau. Nous ne vous jugeons pas parce que vous êtes blanc, noir ou basané. Nous vous jugeons d'après vos actes, nous vous jugeons d'après vos habitudes. Tant que vous aurez l'habitude du mal, nous serons comme vous. Et à nos yeux, la pire forme du mal consiste à juger un homme d'après la couleur de sa peau... » Maurice Béjart Maurice Bucaille Michael Jackson (Mikaeel) Michael Latas (Omar Pascha) Michael Shalhoub (Omar Sharrif) Mike Tyson (Abdel Malek Aziz) Napoléon Bonaparte "L'Islam attaque spécialement les idolâtres; il n'y a point d'autre dieu
que Dieu, et Mahomet est son prophète; voilà le fondement de la religion
musulmane; c'était le point le plus essentiel: consacrer la grande vérité
annoncée par Moïse et confirmée par Jésus. (...) Il n'y a pas d'autre dieu que
Dieu et Mahomet est son prophète. (...) Je suis, moi, musulman unitaire et je
glorifie le Prophète. (...) J'espère que le moment ne tardera pas où je pourrai
réunir tous les hommes sages et instruits du pays, et établir un régime
uniforme, fondé sur les principes d'Al Coran qui sont les seuls vrais et qui
peuvent seuls faire le bonheur des hommes". (Extraits de "Correspondance de
Napoléon Ier Tome V pièce n° 4287 du 17/07/1799: profession de foi, voir aussi
pièce n° 3148; et de l'ouvrage de Christian Cherfils: "Bonaparte et l'Islam" -
Pedone Ed. - Paris - 1914 - p. 81 - 127) Nicolas Anelka Olivier Saint-Jean (Tariq Abdul-Wahad) L’Islam, c’était mon destin Philippe Fragione alias Akhenaton (Abdelhakim) Philippe Troussier (Omar) Régis Fayette-Mikano (Abd Al-Malik) Roger Garaudy Torquato Cardeilli Wilfried HOFFMAN (Murad Hofman) « Depuis un certain temps maintenant, dans un effort vers plus de précision et plus de concision, j'ai essayé de mettre par écrit d'une façon systématique toutes les vérités philosophiques qui, selon moi, peuvent être confirmées sans le moindre doute. Au cours de cet effort de réflexion, une vue s'imposait à mon analyse: le fait que l'attitude typique d'un agnostique n'est pas une attitude intelligente. C'est à dire, que l'homme ne peut simplement pas échapper à une obligation de croire; de croire en l'évidence qu'un acte créateur soit à l'origine de tout ce qui existe autour de nous; que l'Islam est la conception qui concrétise la plus grande harmonie avec notre réalité en général. Ainsi j'ai commencé, non sans choc et surprise, pas à pas, malgré moi et mes préjugés, et presque inconsciemment, à ressentir et penser que je devenais Musulman. Seul un dernier acte devait être entrepris : formaliser ma conversion. Depuis, aujourd'hui je suis Musulman. Je suis enfin arrivé au bout de ma recherche. » |
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