|
Les fêtes païennes
L'interdiction de fêter les fêtes des mécréants et de leur souhaiter une bonne fête D'après Anas Ibn Mâlik : lorsque le Prophète arriva à Médine, il remarqua que deux journées dans l'année étaient réservées aux jeux et divertissements. Le Prophète demanda : "Que représentent ces deux jours ?". D'après Thâbit Ibn Dahhâk : "Du vivant du Prophète , un homme avait fait le voeu de sacrifier une chamelle en un lieu nommé Buwânah. Il se rendit chez le Prophète et lui dit : "J'ai fait le voeu de sacrifier une chamelle à Buwânah". Le Prophète lui dit alors : "S'y trouvait-il une idole de la période anté-islamique que les gens adoraient ?". 'Omar Ibn Al-Khattâb, que Dieu l'agrée, a dit : "Ne pénétrez pas dans les temples de polythéistes les jours de leurs fêtes, car le courroux de Dieu s'abat sur eux". Il a aussi dit : "Eloignez-vous des ennemis de Dieu durant leurs fêtes". 'Abdullâh Ibn 'Amru Ibn Al-'As - que Dieu les agrée tous deux - a dit : "Quiconque construit une demeure en terre mécréante, célèbre leurs festivités (An-Nayrûz et Al-Mahardjân qui sont deux fêtes célébrées par les perses), les imite et meurt dans cet état, sera ressuscité avec eux". Ibn Al-Qayyim (que Dieu lui fasse miséricorde) a dit : "Quant aux félicitations adressées à l'occasion d'événements religieux mécréants spécifiques à eux, cela est interdit par consensus, comme le fait de leur souhaiter bonnes fêtes ou bon carême en leur disant : "Bénie soit votre fête" ou "Que cette fête soit pour vous source de réjouissances" etc... Une personne qui tient de tels propos, même si elle évite la mécréance, n'en commet pas moins un acte interdit, aussi grave que si elle les avait félicités de s'être prosternés devant un crucifix. Ceci est même un péché plus grave encore auprès de Dieu et plus ignoble que le fait de féliciter une personne pour avoir bu du vin, tuer autrui, commis l'adultère ou autre. Or beaucoup de personnes, qui font bien peu de cas de leur religion, agissent de la sorte sans se rendre compte de la gravité de leur acte. Ainsi, quiconque félicite une personne pour avoir commis un péché, une innovation ou un acte de mécréance s'expose à la malédiction et la colère de Dieu". La saint-Valentin (14 fevrier) Son histoire remonte à l'époque des païens Romains qui rendait hommage à
leurs divinités dites "lupercus" (le dieu des troupeaux et des bergers), les
gens procédaient, par tirage au sort, en un jumelage entre les jeunes hommes et
les jeunes filles de l'époque. |
|