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Les fêtes païennes
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Les fêtes païennes

L'interdiction de fêter les fêtes des mécréants et de leur souhaiter une bonne fête

D'après Anas Ibn Mâlik : lorsque le Prophète arriva à Médine, il remarqua que deux journées dans l'année étaient réservées aux jeux et divertissements. Le Prophète demanda : "Que représentent ces deux jours ?".
On lui répondit : "Ce sont deux jours durant lesquels nous nous amusions avant l'avènement de l'Islam".
Le Prophète déclara alors : "Dieu les a remplacés pour vous par deux jours meilleurs : le jour de [la fête] Al-Adhâ et celui de [la fête] Al-Fitr." (Ahmad, Abû Dâwûd, An-Nasâ'î avec une chaîne de transmission authentique)

D'après Thâbit Ibn Dahhâk : "Du vivant du Prophète , un homme avait fait le voeu de sacrifier une chamelle en un lieu nommé Buwânah. Il se rendit chez le Prophète et lui dit : "J'ai fait le voeu de sacrifier une chamelle à Buwânah". Le Prophète lui dit alors : "S'y trouvait-il une idole de la période anté-islamique que les gens adoraient ?".
L'homme répondit : "non".
Le Prophète continua : "Y organisaient-ils leurs fêtes ?".
L'homme répondit : "non".
Le prophète conclut alors : "Respecte ton voeu, car il ne faut pas respecter un voeu de désobéissance à Dieu, ni un voeu concernant une chose que l'on ne possède pas". (Abû Dâwûd avec une chaîne de transmission authentique)

'Omar Ibn Al-Khattâb, que Dieu l'agrée, a dit : "Ne pénétrez pas dans les temples de polythéistes les jours de leurs fêtes, car le courroux de Dieu s'abat sur eux".

Il a aussi dit : "Eloignez-vous des ennemis de Dieu durant leurs fêtes".

'Abdullâh Ibn 'Amru Ibn Al-'As - que Dieu les agrée tous deux - a dit : "Quiconque construit une demeure en terre mécréante, célèbre leurs festivités (An-Nayrûz et Al-Mahardjân qui sont deux fêtes célébrées par les perses), les imite et meurt dans cet état, sera ressuscité avec eux".

Ibn Al-Qayyim (que Dieu lui fasse miséricorde) a dit : "Quant aux félicitations adressées à l'occasion d'événements religieux mécréants spécifiques à eux, cela est interdit par consensus, comme le fait de leur souhaiter bonnes fêtes ou bon carême en leur disant : "Bénie soit votre fête" ou "Que cette fête soit pour vous source de réjouissances" etc... Une personne qui tient de tels propos, même si elle évite la mécréance, n'en commet pas moins un acte interdit, aussi grave que si elle les avait félicités de s'être prosternés devant un crucifix. Ceci est même un péché plus grave encore auprès de Dieu et plus ignoble que le fait de féliciter une personne pour avoir bu du vin, tuer autrui, commis l'adultère ou autre. Or beaucoup de personnes, qui font bien peu de cas de leur religion, agissent de la sorte sans se rendre compte de la gravité de leur acte. Ainsi, quiconque félicite une personne pour avoir commis un péché, une innovation ou un acte de mécréance s'expose à la malédiction et la colère de Dieu".

La saint-Valentin (14 fevrier)

Son histoire remonte à l'époque des païens Romains qui rendait hommage à leurs divinités dites "lupercus" (le dieu des troupeaux et des bergers), les gens procédaient, par tirage au sort, en un jumelage entre les jeunes hommes et les jeunes filles de l'époque.
Ce rituel se nomme les Lupercales romaines ou la fête de la fertilité et soulignait le passage vers l'âge adulte.  Les couples passaient ainsi un an ensemble jusqu'au prochain tirage l'année suivante!
Les prêtes de l'époque trouvait ce rituel peu acceptable et décidèrent de remplacer ce dieu par un "Saint" martyrisé 200 ans plus tôt, nommé Valentin. A l'époque, celui-ci avait décidé de défendre l'amour en mariant les couples malgré l'interdiction de l'Empereur Claude II.  L'Empereur avait interdit le mariage puisque cela empêchait les hommes de s'enrôler dans l'armé.  Lorsque l'Empereur découvrit les comportements de Valentin, il l'emprisonna le jour du 14 février 268 et le fit décapiter.
Avant de mourir celui-ci avait offert sur un feuille en forme de coeur un message à sa bien aimée qui disait "de ton valentin".
Durant le mois de février,  les romains s'échangèrent des mots doux que l'on nomma plus tard des valentins. La coutume d'envoyer des cartes s'est répandu en même temps que le christianisme.




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