Les compensations
Celui qui rompt le Jeûne volontairement sans aucun motif religieux valable doit réparer pour chaque jour non jeûné, cette infraction selon les trois moyens suivants : il devra libérer un captif, s'il ne le peut pas, il devra jeûner deux mois successifs ou s'il ne peut pas jeûner ces deux mois, il devra nourrir 60 pauvres ou leur payer en argent l'équivalent de la nourriture prescrite Abou Hourayra (que Dieu l'agrée) rapporte ce qui suit : "Un homme vint trouver le Prophète et lui dit : "Me voici perdu" ! Un homme vint dire au Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) : "J'ai rompu volontairement mon jeûne". Celui qui rompt le Jeûne car il lui est pénible de l'observer (par exemple une personne atteinte d'une maladie chronique) devra pour chaque jour non jeûné nourrir un pauvre ou verser l'équivalent en aumône Ceux qui ont rompu le Jeûne pour cause de maladie, de voyage, de grossesse, d'allaitement ou d'accouchement, devront jeûner plus tard le nombre de jours correspondants
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