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< 48 - Invocation, évocations, repentir et demande de pardon

< 49 - Repentir

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16 - Mariage
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Recommandation qu'on se marie, quand on convoite le mariage et on assure le mariage sinon on jeûne

2485. D'après 'Abdoullâh Ibn Mas'oûd (que Dieu l'agrée), a dit : Je marchais en compagnie de à Mina quand il rencontra qui demanda de lui parler. Se mettant alors tous deux à l'écart, dit à "Ô Abou 'Abdourrahmân! Ne veux-tu pas te marier avec une jeune fille qui te rappellera ta jeunesse d'autrefois?". lui répondit : "Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) nous a dits : Ô jeunes gens! Quiconque parmi vous possède la capacité physique et les moyens financiers nécessaires au mariage, qu'il se met en ménage. Certes, le mariage contraint les regards lascifs et préserve la chasteté. Quant à celui qui n'en possède pas les moyens, qu'il jeûne, car le jeûne le protégera contre la tentation".

2487. D'après Anas Ibn Mâlik (que Dieu l'agrée), un groupe des compagnons du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) demandèrent ses femmes au sujet de ses pratiques intimes. L'un d'eux dit : "Je pratique la continence", un autre dit : "Et moi, je ne mange plus de la viande", et un troisième : "Quant à moi, je ne couche jamais sur un lit". L'Envoyé de Dieu, les ayant entendu, commença par louer Dieu et L'exalter puis dit : "Qu'ont-ils ces gens-là qui viennent de dire telle et telle chose? Quant à moi, je prie et je dors, je jeûne et je romps le jeûne, et je n'observe pas la continence. Quiconque se détourne de ma Sunna n'est pas des miens".

2488. D'après Sa'd Ibn 'Abî Waqqâs (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) repoussa le désir exprimé par 'Uthmân Ibn Maz'ûn d'observer la continence. S'il la lui avait autorisée, nous aurions procédé à la castration.

Mariage de la jouissance qui a été permis puis interdit et son interdiction persistera jusqu'au Jour de la Résurrection

2493. 'Abdoullâh Ibn Mas'oûd (que Dieu l'agrée) a dit : Nous participions aux expéditions avec le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui), et comme nous n'étions pas accompagnés de nos femmes, nous lui demandâmes s'il ne fallait pas nous châtrer. Mais, le Prophète nous interdit de le faire; puis, il nous toléra le mariage à terme en contrepartie d'une pièce d'étoffe à titre de mahr (sorte de dot mais en Islam celle-ci est payée à la femme). Puis, 'Abdoullâh récita ce verset : Ô Croyants : ne déclarez pas illicites les bonnes choses que Dieu vous a rendues licites. Et ne transgressez pas. Dieu (en vérité) n'aime pas les transgresseurs.

2494. Jâbir Ibn 'Abdoullâh (que Dieu agrée le père et le fils) a dit : Un héraut de la part du Messager de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) vint nous informer que le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) nous avait autorisés de contracter des mariages temporaires (Il s'agit d'un mariage de période fixée en échange d'un salaire déterminé).

2510. D'après 'Alî Ibn 'Abî Tâlib (que Dieu l'agrée), lors de l'expédition de Khaybar, l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a interdit le mariage temporaire ainsi que la consommation des ânes domestiques.

Interdiction d'avoir, à la fois comme épouses, une femme et sa tante paternelle ou maternelle

2514. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : "Il est strictement interdit de se lier en mariage avec une femme et sa tante paternelle ou maternelle en même temps".

Interdiction d'épouser un homme en état de sacralisation et répugnance de demander une fille en mariage

2527. D'après Ibn 'Abbâs (que Dieu agrée le père et le fils), le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) épousa Maymûna pendant qu'il était en état de sacralisation (ihrâm). Ibn Numayr (l'un des transmetteurs) ajouta : J'ai transmis ce hadith à Az-Zuharî qui m'avait répondu en disant : "Yazîd Ibn Al-'Asam m'a informé qu'il (paix et bénédiction de Dieu sur lui) l'avait épousé alors qu'il était en état de désacralisation".

On ne doit demander en mariage une femme qui a été déjà fiancée à un autre à moins que ce dernier ne la quitte

2530. D'après Ibn 'Omar (que Dieu agrée le père et le fils), le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : "Qu'aucun de vous ne cherche à acheter quelque article alors qu'un autre est sur le point de contracter son achat; et qu'aucun de vous ne demande en mariage une femme dont la main est déjà demandée par un autre".

2532. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), L'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) défendit qu'un citadin vend au nom d'un bédouin (de peur d'abuser de son ignorance des prix pratiqués dans les marchés de la ville), qu'on simule l'offre d'un prix plus élevé (pour tromper l'acheteur), qu'un homme demande en mariage celle que son frère a déjà demandée ou qu'il le supplante dans l'achat de quelque marchandise, et qu'une femme demande la répudiation de sa co-épouse pour s'accaparer des biens dont dispose celle-ci.

Interdiction du mariage dit "Ach-Chighâr" considéré comme illicite

2537. D'après Ibn 'Omar (que Dieu agrée le père et le fils), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) interdit le mariage dit "Ach-Chighâr". C'est quand un homme donne sa fille en mariage à quelqu'un, à condition que ce dernier lui donne également sa propre fille en mariage, sans que ni l'un ni l'autre paye de dot (aux mariées).

Se conformer aux conditions du mariage

2542. D'après 'Uqba Ibn 'Amir (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) dit : "La condition qui a le plus de droit à être remplie est celle par laquelle vous vous êtes assuré la légitimité des relations conjugales".

La femme déjà mariée doit déclarer son consentement au mariage, et la vierge par son silence

2543. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) dit : "La femme qui a été déjà mariée (veuve soit-elle ou divorcée) ne peut être donnée en mariage que sur son autorisation. Quant à la vierge, elle ne peut être donnée en mariage que sur son consentement". - "Ô Envoyé de Dieu! Et comment donnera-t-elle son consentement?", lui demanda-t-on. - "En gardant le silence", répondit le Prophète.

2544. Dhakwân transmet : J'ai entendu 'Aïcha dire : J'ai demandé à l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) si les parents de la vierge devaient ou non la consulter avant de contracter son mariage. - "Oui, elle doit donner son consentement", répondit le Prophète. - "Mais, répliquai-je, elle est timide". - "Eh bien, reprit-il, son silence signifie son consentement".

Le père peut donner en mariage la plus jeune de ses filles vierges

2547. 'Aïcha (que Dieu l'agrée) a dit : "J'avais six ans lorsque le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) m'épousa et neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi. Quand nous nous rendîmes à Médine, j'avais eu de la fièvre un mois durant et mes cheveux avaient poussé jusqu'à mes épaules. Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver alors que j'étais sur une balançoire, entourée de mes camarades. Quand elle m'eut appelé, je me rendis auprès d'elle sans savoir ce qu'elle voulait de moi. Elle me prit par la main, me fit rester à la porte de la maison jusqu'à ce que j'eusse pris mon souffle. Elle me fit ensuite entrer dans une maison où se trouvaient des femmes des 'Ansâr qui me dirent : "A toi le bien, la bénédiction et la meilleure fortune!". Ma mère m'ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent la tête; et se mirent à me parer. Or, rien ne m'effraya et quand l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) vint dans la matinée; elles me remirent à lui".

La dot et sa nature

2554. D'après Sahl Ibn Sa'd (que Dieu l'agrée), Une femme vint dire à l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) : "Ô Envoyé de Dieu! Je viens me donner à toi". L'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) fixa ses regards un instant sur elle, puis baissa la tête. Voyant qu'il ne décida rien à son égard, la femme s'assit. Alors un des compagnons du Prophète se leva et dit : "Ô Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui)! Si tu ne veux pas accepter son don, donne-la-moi en mariage". - "Possèdes-tu quelque bien (pour la doter)?", lui demanda le Prophète. - "Non, par Dieu! Ô Envoyé de Dieu!", répliqua l'homme. - "Rentre chez toi, répliqua le Prophète, et regarde si tu y trouves quelque chose". L'homme partit et revint dire : "Par Dieu! Je n'y ai rien trouvé". - "Cherche bien, ajouta l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui), fût-ce une bague en fer". L'homme rentra chez lui, puis vint dire : "Par Dieu! Ô Envoyé de Dieu, je n'y ai même pas trouvé une bague en fer, mais voilà mon 'izâr (pagne) - Sahl ajouta : "Il ne possédait même pas un ridâ' (habit couvrant la partie supérieure du corps)- à elle sa moitié". - "Mais, reprit l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui), qu'est-ce qu'elle fera de ton pagne? Si tu t'en vêts, elle ne s'en servira pas et si c'est elle qui s'en vêt, tu ne t'en serviras pas". L'homme s'assit, puis, comme la séance se prolongeait, il se leva. L'Envoyé de Dieu, voyant qu'il fut sur le point de partir, donna ordre de le rappeler. Quand l'homme retourna, il lui dit : "Que connais-tu du Coran?". - "Je connais, répondit-il, telle et telle sourates", répondit-il puis il se mit à les énumérer. - "Est-ce que tu les connais par cœur?", demanda le Prophète. - "Oui", répondit-il. - "Eh bien va, reprit le Prophète, je te la donne en mariage pour ce que tu connais du Coran".

2556. D'après Anas Ibn Mâlik (que Dieu l'agrée), L'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui), ayant vu sur (les vêtements de) Abdourrahmân Ibn 'Awf les traces du "sufra" (matière jaune parfumée), lui demanda : "Qu'est-ce que c'est?". - "Ô Envoyé de Dieu, répondit-il, je viens d'épouser une femme, et je l'ai dotée du poids d'un noyau d'or (le poids de 5 dirhams environ)". - "Que Dieu bénisse votre union! Donne un repas de noce, même s'il se compose seulement d'une brebis".

Mérite d'affranchir une esclave puis l'épouser

2565. Anas (que Dieu l'agrée) a dit : Je fus parmi les convives du repas de noce de Zaynab. Les fidèles mangèrent du pain et de la viande jusqu'au rassasiement. Le Prophète m'avait chargé d'aller inviter les gens. Une fois le repas terminé, le Prophète se leva pour sortir et je le suivis. Or, deux hommes, absorbés dans leur causerie, ne quittèrent pas la maison du Prophète. Celui-ci alla voir ses femmes l'une à la suite de l'autre en adressant ainsi le salut à chacune d'elles : "Que la paix soit sur vous. Comment allez-vous, ô gens de la maison?". - "Nous allons bien, ô Envoyé de Dieu! Comment as-tu trouvé ta (nouvelle) femme?". - "Elle va bien," répondit le Prophète. Quand il eut terminé son tour, il rentra chez lui, étant toujours accompagné de moi. Une fois arrivé à sa maison, il trouva encore les deux hommes, absorbés toujours dans leur causerie. Il revint alors sur ses pas. Ayant remarqué son acte, ils se levèrent et s'en allèrent. Par Dieu! Je ne me souviens plus si c'est moi qui ai avisé le Prophète de leur départ ou si c'est la Révélation céleste qui l'en avait mis au courant. Il retourna alors, étant toujours accompagné de moi. Et en mettant le pied au seuil de la porte, il fit tomber le rideau pour se séparer de moi. Ce fut à cette occasion que Dieu - le Très-Haut - révéla ce verset : N'entrez pas dans les demeures du Prophète, à moins qu'invitation ne vous soit faite...

Obligation à répondre au repas de noces

2574. D'après Ibn 'Omar (que Dieu agrée le père et le fils), l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : "Quand on vous invite à un repas de noce, prenez-y part".

2585. Abou Hourayra (que Dieu l'agrée) a dit : "Le pire repas est celui de noce auquel les riches sont invités et les pauvres, exclus. Celui qui ne répond pas à l'invitation, a désobéi à Dieu et à Son Envoyé".

Interdiction à une femme divorcée par triple répudiations de se remarier avec son ex-mari avant de prendre un époux et d'avoir des rapports charnels avec lui puis de divorcer après que la période de viduité ne soit écoulée

2587. D'après 'Aïcha (que Dieu l'agrée), la femme de Rifâ'a vint dire au Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) : "J'étais mariée à Rifâ'a, mais il m'a irrévocablement répudiée. J'ai alors épousé 'Abdourrahmân Ibn Az-Zubayr, mais sa verge est pareille à une frange de vêtement (allusion à son impuissance sexuelle)". - "Veux-tu, lui demanda le Prophète en souriant, te remarier avec Rifâ'a? Ce ne sera pas avant que tu n'aies goûté du miel de 'Abdourrahmân et qu'il n'ait goûté du tien, c'est-à-dire après la consommation de votre mariage". 'Aïcha ajouta : A ce moment, Abou Bakr était assis auprès du Prophète et Khâlid attendait à la porte l'autorisation d'être reçu. - "Ô Abou Bakr, s'écria Khâlid, n'as-tu pas entendu ce que celle-là vient de dire ouvertement en présence du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui)?".

Ce qu'on doit dire lors du coït

2591. D'après Ibn 'Abbâs (que Dieu agrée le père et le fils), Le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : Quand l'un de vous veut coucher avec sa femme, qu'il dit : "Au nom de Dieu! Seigneur! Protège-nous contre Satan et écarte-le de ce dont Tu nous as gratifiés". Si jamais un enfant est né de cette union, Satan ne lui nuira jamais.

On peut avoir des rapports charnels avec sa femme de tout côté sans toutefois se tenir derrière elle

2592. Jâbir (que Dieu l'agrée) a dit : Les juifs prétendaient que quand l'homme entreprenait des rapports charnels avec sa femme (à travers son vagin mais) en se tenant derrière elle, l'enfant, fruit de cette union, sera louche. C'est pourquoi ce verset fut révélé : Vos épouses sont pour vous un champ de lAbour (lieu de productivité comme le champ); allez à votre champ comme (et quand) vous le voulez...

Jugement porté sur la femme qui refuse de coucher avec son mari

2594. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), L'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : "Lorsqu'une femme renonce une nuit à faire l'amour avec son mari, les anges se mettent à la maudire jusqu'au matin".

Ejaculation en dehors (de l'utérus)

2599. Abou Sa'îd Al-Khoudri (que Dieu l'agrée) a dit : Nous partîmes en expédition avec l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) contre les Banû Al-Mustaliq et nous captivâmes un certain nombre de femmes vertueuses. Comme le célibat nous pesait et qu'en même temps nous évitions d'avoir des relations charnelles avec nos captives de peur de perdre le droit de recevoir une rançon contre leur émancipation (au cas où nous les aurions mises enceintes), nous voulûmes donc contracter des mariages temporaires contre compensation, tout en pratiquant le coït interrompu. Nous dîmes, alors : "Agissons-nous de la sorte sans consulter l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) qui se trouve parmi nous?". Nous lui posâmes donc la question. Et lui (paix et bénédiction de Dieu sur lui) de répondre : "Il n'y a aucun mal à ce que vous agissiez ainsi, car, d'ici au Jour de la Résurrection, tout être dont l'existence aura été prédestinée par Dieu, ne manquera pas d'exister".

2608. Jâbir (que Dieu l'agrée) a dit : "Nous pratiquions le coït interrompu, alors que le Coran se révélait".
Ishaq a ajouté : Sufyân a dit : "Si jamais cet acte était interdit, le Coran nous l'aurait catégoriquement défendu".




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