26 - Al-'aqiqa
Chapitre Premier Du sujet de Al-'aqiqa (1082) 1 Un homme de Abi Damra a rapporté d'après son père qu'on a demandé à l'Envoyé d'Allah r (salallahou alayhi wa salam) (Sur lui la grâce et la paix d'Allah) au sujet de Al-"âqiqa». Il répondit: «Je n'aime pas la négligeance des obligations». Comme s'il avait répugné l'écoute de ce terme. Il dit: «Celui, à qui Allah a accordé un enfant, j'aime bien qu'il fasse un sacrifice à son égard, s'il est capable». (1083) 2 Ja'far Ibn Mouhammad a rapporté d'après son père que Fatima, la fille de l'Envoyé d'Allah r (salallahou alayhi wa salam) (Sur lui la grâce et la paix d'Allah) avait pesé, ce qui étaient coupés des cheveux de Hassan, de Houssein, de Zainab et de Oum Koulthoum puis elle avait payé une aumône en argent valant le poids des cheveux coupés». (1084) 3 Mouhammad Ibn Ali Ibn Houssein, a dit: «Fatima, la fille de l'Envoyé d'Allah r (salallahou alayhi wa salam) (Sur lui la grâce et la paix d'Allah) avait pesé les cheveux coupés de Hassan et de Houssein, puis a payé l'aumône du poids en argent». Chapitre II Les œuvres dans Al-aqiqa (1085) 4 Nafe' a rapporté que si n'importe quel membre de sa famille demandé, Al aqiqa ;Abdallah Ibn Omar, , le lui donnait. Il faisait sacrifice d'un mouton au nom de ses enfants mâles et femelles». (1086) 5 Mouhammad Ibn Ibrahim Ibn Al-Hareth a rapporté qu'il a entendu son père dire qu'il lui était acceptable de faire sacrifice, comme aqiqa, même d'un oiseau». (1) Al-àqiqa: à l'origine et selon Al-Asma, ce terme désignait les cheveux se trouvant sur la tête du nouveau-né; selon d'autre, Al-àqiqa veut dire le mouton qu'on sacrifie, une fois qu'on rase la tête du nourrisson. (1087) 6 - On rapporta à Malek, qu'on a fait sacrifice aux noms de Hassan et Housein, fils de Ali Ibn Abi Taleb. (1088) 7 • Hicham Ibn Ourwa a rapporté que son père Ourwa Al-Zoubair sacrifiait aux noms de ses enfants, mâles et femelles, un mouton pour chacun». Malek a dit au sujet de Al-'aqiqa: «Celui qui veut faire sacrifice au nom de ses enfants, qu'il le fasse d'un mouton pour chacun d'eux, mâle soit-il on femelle. Bien que ce sacrifice ne soit pas d'obligation cependant c'est une bonne tradition qui jusque là, est toujours suivie. Ainsi, celui qui fait Al-'âqiqa au nom de son enfant, ceci est considéré comme un rite et un sacrifice. Et il n'est pas permis que le mouton soit borgne, ou maigre ou fracturé ou malade. Rien de sa viande ne sera à vendre, ni sa peau, et ses os sont à fracturer. La famille qui a fait ce sacrifice, peut manger de cette chair, peut faire même une aumône, mais l'enfant au nom de qui ce sacrifice a été fait, ne peut pas toucher de son sang». |
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